La Grossièreté, ce misérabilisme comportemental en action!

22 Décembre 2024

Par Camille Loty Malebranche

Les complexés d’infériorité, surtout les aigris intellectuels en rage de bassesse, sont une canaille particulière qui s’évertue à attaquer par la turpitude et la crapulerie des insultes et des moqueries imbéciles, les grands et des supérieurs que leur misérabilisme, l’exiguïté de leur mental ignare sait inatteignable. Nul n’est plus moqueur de l’intelligence que le sot frustré de sa sottise. Personne n’est plus répugnant que le grossier en sa posture de brutalité laide et bestiale

L’indifférence à la bassesse agressive et la foi en soi-même au point d’être dédaigneux des multitudes ordurières, de toute façon dédaignables, qui assiègent le monde par inaptitude à se manifester autrement, telle est la paire d’autodéfense inexpugnable, la poliorcétique invincible face aux vomissures de l’agressivité bête dans un univers d’encanaillement agressant. Il s’agit de briser toute vulnérabilité émotionnelle, toute sensibilité d’amour-propre face à la canaille sauvage, putride qui envahit ce monde parfois en proie à l’ensauvagement d’une civilisation glissant dans les pires barbaries. Il faut apprendre à être inatteignable aux puanteurs verbales des complexés d’infériorité, des complexés de haine, des complexés de culpabilité, des délirants mégalomanes, des sots, des incivils forcenés; il s’agit de dégueulis d’infrahumains inaptes à quitter l’animalité organique et se vautrant dans l’agressivité par manière de compensation pathologique. La bête des bas-fonds aime provoquer, hurler, pour intimider, blesser, terrifier verbalement ceux dont elle se sent inférieure! J’en connais qui vous adresse la parole par des commentaires sur le web pour ensuite grogner furieusement dans l’espoir de prendre de l’importance! Les moins que rien qui tentent toujours de se rendre importants en faisant le pitre, en expectorant des arrogances ineptes, sont de fait, les pures ordures de leur être de saleté, les pires malpropretés de leur salissure! C’est même leur caractéristique majeure. Comme cette crapule sur facebook qui m’agressait verbalement sans se rendre compte que c’est son mufle fienteux qui constitue un cloaque par où dégouline son cerveau immonde sans matière grise et débordant de la matière impure dont les organes excréteurs sont censés débarrasser le corps! Sans devenir méphitique, il faut toujours leur faire comprendre, par le mot ou par le dédain sans mot dire, que ce qu’ils dégagent, est leur odeur qu’ils prennent et offrent en coprophile, mais que finalement ils ravalent car eux seuls en veulent et savent s’en servir!

Le grossier, le débiteur gratuit de crapuleries que sa cible n’a point agressé, est toujours un misérable mental soit trop sot soit trop aigri - souvent les deux - qui cherche à cloîtrer l’autre dans les murs verbaux ou gestuels méphitiques de sa propre haine de soi. C’est un haineux qui tente ainsi d’éclipser la valeur d’autrui en compensant son complexe primitif d’inférieur. Pathologie du miséreux mental, le petit complexé de caniveau, pauvre bête anthropomorphe si bestialement bête, qu’il ne peut s’échapper de la bêtise de sa propre bestialité! Quand la bassesse mentale écrase une conscience qui n’arrive pas à la juguler par l’élévation spirituelle, intellectuelle et morale, ses manques abyssaux, ses abîmes ingérables se déversent sans masque à travers la grossièreté, cette posture emblématique de l’infrahumain des ombres. Il devient une véritable fosse d’aisance incarnée qui ne sait que régurgiter son contenu d’étron caractériel. Je dis à tous, quand on rencontre de telles saletés, le mépris hautain est la règle suprême.

Ne vous offusquez jamais de la grossièreté, ce misérabilisme du déshumanisé en action, car ce n’est jamais que de la muflerie d’attitude, de la prestance de cirque d’une fierté factice singée par le triste paltoquet sans hauteur ni grandeur qui veut désarçonner l’autrui perçu supérieur. Il faut, je le redis, avec ou sans mots, le mépriser et le regarder de haut comme un soleil qui verrait de loin un lombric gigoter dans la boue avec sa misère de vouloir atteindre le ciel!

CAMILLE LOTY MALEBRANCHE

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