Par Camille Loty Malebranche
CAMILLE LOTY MALEBRANCHE
Voici débutant par le lien en rouge ci-dessous, le site des charognards de Mediaafrik.com avec leur vol crapuleux de nos idées et écrits:
http://mediaafrik.com/le-code-maya-enfin-dechiffre/
L’homme est une somme de Violence Vitale et de Révolte Vivifiante contre la létalité des néants envahissants du monde. Rêve et Réalise ta construction de toi-même selon l’Esprit, investis-toi spirituellement dans l’Être, et l’avoir ne sera plus contre toi ni bourreau ni consomption! Penser c’est se Repenser. Se Repenser, se juger pour se construire l’Humanité et cesser d’être le patient des cécités conscientielles attisées par le conditionnement social.
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Les cités Mayas
Les cités mayas formaient, avec leur arrière-pays agricole, des centres administratifs et rituels. Les grandes cités mayas étaient très populeuses. Au centre même de Tikal par exemple, se dressaient sur 15,6 kilomètres carrés, quelque 10 000 bâtiments, allant des temples-pyramides aux huttes à toit de chaume. On évalue la population de Tikal à plus de 60 000 habitants, une densité beaucoup plus forte que celle d’une ville moyenne d’Europe ou d’Amérique à la même époque.
Une ville maya de la période classique consistait habituellement en une série de plates-formes stratifiées surmontées de structures de maçonnerie qui pouvaient aussi bien être de grands temples-pyramides et des palais que de simples maisons individuelles. Autour de ces structures étaient aménagées de vastes cours ou esplanades. L’architecture maya se caractérisait par l’abondance des sculptures en bas relief et des peintures murales ornant les édifices, qui dénotaient un sens aigu de l’art et de la décoration. Dans les grandes cités comme Tikal, des routes ou des chemins en pierre reliaient parfois les édifices imposants et les grands ensembles entre eux.
Les cités, rarement disposées sous forme de quadrilatères, semblent s’être développées sans plan préconçu, les temples et les palais ayant été détruits et rebâtis maintes fois au cours des siècles. L’aménagement apparemment arbitraire des cités mayas complique le tracé de leurs frontières. Certaines sont délimitées par des fossés tandis que d’autres sont parfois, quoique rarement, entourées de fortifications. On ne bâtissait pas d’ordinaire de murailles autour des sites, à l’exception de certaines villes récemment découvertes datant de l’effondrement de la civilisation maya où l’on s’était ainsi prémuni contre l’envahisseur.
Les temples-pyramides représentent les plus impressionnants fleurons des cités mayas. Construits de blocs de calcaire taillés à la main, ils surplombaient les bâtiments environnants. Les temples comptaient habituellement une ou plusieurs pièces, mais celles-ci étaient si exiguës qu’elles ne pouvaient servir qu’à la tenue de cérémonies réservées aux initiés. Il y avait une signification symbolique aux alignements des bâtiments cérémoniels.
Si les temples étaient les structures les plus imposantes, plus nombreux étaient les palais d’un étage, d’aspect semblable, mais aux plates-formes beaucoup plus basses. Ces palais comportaient quelques douzaines de pièces aux murs enduits de plâtre. Souvent, contrairement aux temples-pyramides, une ou deux cours intérieures étaient aménagées dans l’enceinte des palais.
On ne sait pas au juste à quoi servaient ces «palais». Les chefs ou d’autres membres de l’élite y habitaient peut-être, quoique les pièces fussent minuscules et sans confort. Selon les archéologues, il est plus vraisemblable que les nobles aient vécu dans des édifices aujourd’hui disparus. Il se pourrait aussi que des moines, des religieuses ou des prêtres aient vécu dans ces «cellules», bien que l’existence d’ordres ecclésiastiques ou monastiques chez les anciens Mayas ne soit pas attestée.
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Dans certaines régions, l’eau souterraine était rare, si bien que l’on fabriquait sans doute, dans de grands centres comme Tikal, de vastes réservoirs pour servir la population durant la saison sèche. De nombreux sites disposaient aussi de terrains de jeux. Certains étaient munis de bains de vapeur, probablement d’origine mexicaine. Devant les grands temples et palais des villes importantes se dressaient habituellement, dans le stuc des terrasses et des esplanades, une multitude de piliers ou de stèles. Ces stèles, parfois placées sur les plates-formes, servaient alors à étayer les temples-pyramides et il n’était pas rare que soient disposés devant elles des autels plats et peu élevés, de forme arrondie.
Parmi les constantes des principes architecturaux figurent la voûte en encorbellement et la crête couronnant le toit. Contrairement aux arches européennes, la voûte n’avait pas de clé, ce qui lui donnait davantage l’apparence d’un triangle étroit que d’une arcade. Bien que cette forme inhabituelle ait parfois été attribuée à la méconnaissance des techniques nécessaires à la fabrication des clés, d’aucuns prétendent qu’il s’agissait d’un choix délibéré. La voûte comportait toujours neuf strates de pierre représentant les neuf strates du monde souterrain; la clé de voûte superposée aurait constitué un élément de plus, étranger à la cosmologie maya.
La crête du toit consistait en un treillis de pierre surmontant la structure, déjà élevée, des temples-pyramides. Peut-être les architectes mayas, craignant que ces temples ne fussent pas assez grandioses, voulaient-ils ainsi les rehausser. La crête était toujours abondamment ornementée de reliefs peints en plâtre, à l’instar des façades des temples. Les entrées, les montants de porte et les façades de nombreux autres bâtiments mayas étaient également décorés d’une multitude de sculptures en bois ou en pierre.
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La mystérieuse Chute de l’empire Maya
Une enquête précise, intégrant les dernières découvertes archéologiques, sur la subite disparition de la civilisation Maya, à la fin du premier millénaire de l’ère chrétienne, vers 950. Une des civilisations précolombiennes les plus fameuses comme celles des Incas et des Aztèques qui lui sont postérieures.
Cette civilisation connaissait les subtilités mathématiques, maîtrisait les réseaux d’irrigation sophistiqués et efficaces, elle avait développé des transports adaptés et connaissait l’écriture. Les hypothèses sur la disparition de cette brillante civilisation sont évoquées.
S’agit-il de guerres, civiles ou fratricides, d’épidémies ou des catastrophes climatiques? Des rivalités au sein d’un pouvoir théocratique?, des changements climatiques selon Gerald Haug.
Pour le géophysicien allemand Gerald Haug, “des forages sous-marins réalisés dans la mer des Caraïbes montrent des changements climatiques radicaux dont la date coïncide avec celle du déclin de l’empire maya. La région aurait connu de grandes sécheresses qui se seraient soldées en peu de temps par des millions de morts.”
Les recherches patientes du photographe Teobert Maler qui prit en 1895 les premières photos de Ceibal publiées grâce au Peabody Museum aux USA ont permis d’inspirer le documentaire qui dévoile les métropoles mayas dUxmal, dans le Yucatan, et Palenque, dans l’état mexicain du Chiapas, près du fleuve Usumacinta.
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Le code Maya enfin dechiffré
“La civilisation maya sombre dans l’oubli avec l’irruption des Espagnols sur le continent américain. A la fin du XXe siècle, l’exploration par une équipe pluridisciplinaire du site de Piedras Negras, dans le Nord du Mexique, permet de déchiffrer les écrits des Mayas. On y découvre des histoires de royaumes et de héros légendaires, qui témoignent de la profonde originalité de la civilisation maya.”
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